Ils ne savaient pas que cela existait…
Billets du management : septembre 2017
Un ami, ingénieur, me disait récemment :
« Tu sais, les gens se figent souvent dans une attitude de principe, souvent jusqu’à une situation de crise.
Ils ne savent pas que d’autres possibilités existent, qu’ils peuvent s’autoriser à expérimenter d’autres pistes… C’est cela les aider à découvrir leurs possibles !
Alors j’ai repensé au mail de ce client :
« Je craignais de prendre position dans mon entreprise, je l’ai fait et j’ai découvert que mes craintes étaient fantasmées ! Je n’imaginais pas que cela serait si simple à faire puisque je ne connaissais pas. Je n’ai jamais éprouvé un tel ressenti d’évidence après. Cela a amélioré la qualité de mes relations avec ma hiérarchie. »
Puis, j’ai fait un récapitulatif de mon année 2017, de tout ce que j’ai découvert et expérimenté, que je n’imaginais même pas exister : le webmarketing, les web entrepreneurs, les vidéos et toute leur vitalité communicative sur Facebook, des personnes aux parcours incroyables qui m’ont boostée pour explorer, apprendre et oser aller dans ce nouvel univers inconnu. Beaucoup de travail, certes, mais aussi des peurs apprivoisées et une énergie d’entreprendre retrouvée. Et surtout l’impression d’avoir franchi une étape, d’avoir plus de recul et de confiance dans « mes possibles ».
Et si, une des façons de résoudre nos problématiques, c’était d’être plus curieux, plus aventurier ?
Quel univers avez-vous découvert que vous n’imaginiez pas exister ? Quelle nouvelle façon d’être avez-vous expérimentée dont vous n’imaginiez pas les effets ?
22 septembre 2017
Cela rappelle cette histoire reprise à de nombreuses reprises ;
Il est arrivé sur un projet où tout le monde disait que c’était impossible. Mais lui ne le savait pas, et, il l’a fait.
22 septembre 2017
Oui, « essayer », « agir » balaient nos limites, nos impossibles ou nos certitudes ! 🙂
22 septembre 2017
C’est un magnifique témoignage. Merci beaucoup Marie-Laure Voisard.
J’ai une anecdote qui n’a pas de rapport avec l’entreprise mais avec le désir de perfection.
Cet été, dans la maison de campagne, il n’y avait plus de machine à laver et pas de lavomatique à proximité. Il fallait laver à la main les vêtements mais aussi les draps, les serviettes de plage… Pour ceux qui ont expérimenté, c’est un cauchemar. Et pour ceux qui veulent rivaliser avec une machine à laver, c’est un enfer. Passer 20 minutes sur chaque tissu faisait perdre l’objectif général : passer des vacances reposantes.
Alors je me suis ouverte à l’imperfection, le drap n’était pas parfaitement propre mais il était lavé. J’ai découvert l’univers du réel imparfait, et l’idée que je puisse vivre dedans, dormir dans ce drap lavé mais pas parfaitement propre
22 septembre 2017
Merci Fatima pour ce témoignage !
On savait que ça existait mais on l’avait oublié !!! :=)